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Ce livre est une quête, celle de l'auteur qui se dit "passeuse d'âmes".L'ouvrage est composé de deux parties : la première retrace la cheminement personnel et spirituel de Maryvonne Pelthier, et la seconde est consacrée aux âmes qu'il faut dégager d'une errance douloureuse.Qu'est-ce qu'une âme errante ? Que cherche-t-elle ? Comment la soulager de sa détresse ? Voyante, défiante quant à la vie ecclésiale, Maryvonne Pelthier fait voyager son lecteur dans l'astral, vers l'Etre, avec une certaine prudence.

« Plus d'un quart des personnes en deuil font l'expérience de formes diverses de communication spontanées après la mort d'un proche. Signes, messages, apparitions... il ne s'agit pas d'anecdotes rares ou suspectes, mais d'une réalité quotidienne et indiscutable vécue par plus de deux-cent mille personnes par an, rien qu'en France. Il n'est pas possible de réduire une telle quantité de témoignages à de simples hallucinations. Après Le Test, ces récits constituent une nouvelle preuve que la vie se poursuit après la mort. Ce n'est pas une croyance mais une déduction scientifique. Je suis journaliste. Celles et ceux que l'on a aimé poursuivent leur existence dans l'au-delà. Ils sont vivants, et tentent de nous faire signe. écouter ces témoignages permet de comprendre quelle forme d'existence nous attend après notre décès. Où se trouvent nos proches défunts ? Que font-ils ? Ont-ils toutes les réponses ? Qu'advient-il au moment de la mort ? Peut-on s'y préparer ? à ces interrogations pressantes, il est désormais possible de répondre. à travers ces incroyables témoignages, je vous propose de découvrir ce qu'il advient après...On demande des preuves, elles sont devant nos yeux. »

Cette plaquette reprend l’expression du courant gnostique : la mort provoque la délivrance de notre esprit qui s’échappe de notre corps de chair pour rejoindre l’Univers spirituel auquel il appartient de toute éternité. Elle est donc libération. Dans cette perspective notre existence terrestre reste relative. La mort est translation et la Résurrection est celle d’un corps subtil ou astral, ou encore corps de gloire.

Un tout petit livre, très précis et clair à propos de la question qui lui sert de titre. Question permanente à laquelle les religions ont tenté de répondre. Qu’en disent-elles aujourd’hui ? Viennent ensuite les réponses des juifs et des chrétiens à partir de commentaires d’œuvres d’art. Enfin un ensemble de questions pour aujourd’hui : l’enfer, le jugement, le purgatoire, la prière pour les morts, abordées ici de façon très simple

Y a-t-il une vie après la mort ?" La question est aussi ancienne que l’humanité. La nécromancie, le spiritisme tentaient des réponses. Avec le Nouvel Age, on assiste à un renouvellement, à une inflation des approches ; pour obtenir l’avis des sages qui nous ont précédés, les méthodes sont innombrables : channelling, voyages hors du corps, écriture automatique, etc.à Ce livre explore toutes sortes de possibilités. Dans une partie intitulée "Que penser de ?", l’auteur propose des repères et des critères d’évaluation, notamment par rapport à la révélation chrétienne.

Une « pause » dans le dialogue interreligieux pour mieux comprendre l’autre et ainsi, mieux se comprendre. Le propos se développe toujours à partir d’une question existentielle : ici, celle de la mort. Il débute par une réflexion philosophique, puis par les points de vue de spécialistes des « religions », en fait de 5 grandes traditions, bouddhisme, hindouisme, et les trois religions monothéistes. Collaborent à l’ouvrage un professeur de l’université El Alazhr du Caire, un rabbin, des professeurs d’université en France. En fin d’ouvrage, deux initiatives intéressantes : une question d’actualité proposée à tous les auteurs, l’euthanasie. Puis un forum met en débat les propositions des différentes religions en les mettant en rapport avec les interrogations contemporaines. Le livre est rigoureux. Les points de vue se confrontent sans que l’un d’eux soit érigé en principe par rapport aux autre. Un livre qui fait tomber un certain nombre de préjugés et évite les jugements simplistes sur « les religions ».

La mort « en crise », entourée de silence. Plus de rites ni de cérémonies. N’est-ce pas parce que la vie elle-même est en crise ? Comment la mort peut-elle prendre du sens si la vie qu’elle achève n’en a pas. L’auteur se livre à une investigation poussée de cet état de fait. Vie et mort sont interdépendantes et beaucoup sont déjà morts qui sont encore en vie. A travers les doutes, les négations, les dénis, la question de Dieu, la quête du divin dans l’humain continue de se poursuivre. Un très beau livre.

La réincarnation est une croyance complexe et changeante si l’on en juge par la diversité des arguments qu’on a avancé en sa faveur au cours des âges. C’est qu’elle est le reflet de cultures différentes à travers le monde. L’importance qu’on y attache est liée à ce qu’elle dit de la conception de l’homme et de l’existence. De nos jours, l’âme retrouve de l’audience. Elle représente la permanence au-delà du corps éphémère. Elle signifie un au-delà des limites humaines. Il ne faut pas alors s’étonner des difficultés de la rencontre résurrection-réincarnation. Côté chrétien, on privilégie le don unique de la vie, la personne humaine capable d’alliance avec Dieu. Côté réincarnation on valorise un tout, homme-Dieu dans lequel l’homme progressivement s’identifie à Dieu. Un livre très éclairant, une pédagogie sûre qui permet à la foi de faire le point et de renouveler la réflexion sur ce thème.

Un ouvrage intéressant tant par ce qu’il réfute que par ce qu’il avance. L’auteur trace l’histoire des réponses à cette question permanente : « la mort est-elle une fin ? » Il étudie les racines de la croyance et les notions très variées sur « les âmes », le corps, le rapport des morts aux vivants, antérieures aux courants religieux avant d’entreprendre l’histoire de survie dans ces grandes religions. Il souligne d’une part la forte influence de l’individualisme sur la notion du salut. D’autre part la modification constante de la théorie de la réincarnation au gré des intérêts personnels et des conceptions philosophiques : aujourd’hui le bouddhisme « traditionnel » considère la réincarnation « à l’occidentale » comme « une façon d’engraisser l’ego ». Enfin l’auteur s’en prend vigoureusement aux rumeurs, aux légendes sans fondement, aux témoignages hypothétiques sur cette question.

L’auteur s’emploie à « briser le mur de silence » qui environne l’au-delà. Il présente comme une « évidence » des faits « scientifiques » qui établissement des relations entre les défunts et les vivants : enregistrements magnétiques, images vidéo, et bien sûr les expériences aux frontières de la mort. Ainsi découvrons nous les sentiments éprouvés par les défunts dans leur nouvel état que l’auteur confronte aux révélations des mystiques. Le livre confirme que la mort n’est qu’un passage qui mène à la vie.

Un livre attachant puisque le contenu est lié de très près à la vie et à la mort de son auteur. Il parle de la mort, de celle qui met fin à l’existence terrestre, et de toutes celles qui la précèdent. Et il les évoque à partir de sa propre expérience : celle de la souffrance, celle qui accompagne les rites de passage de l’enfance, de l’adolescence. Et enfin celle de la mise à la retraite. Il contemple enfin la venue de sa propre mort et il en trouve le sens et le fruit dans le mystère pascal de la mort et de la résurrection du Christ.

Ce livre est un condensé d’un « corpus scientifique » réunissant- 2600 cas d’enfants qui disent se souvenir de leur vie antérieure. L’auteur s’attache principalement et avec de nombreuses précautions aux « marques de naissance et malformations congénitales » apparemment sans cause. Les exemples proviennent de divers pays la plus souvent non occidentaux. Il établit des liens entre ces blessures et ces marques avec celles de la personne décédée. Il propose diverses explications de ce « transfert » et invite le lecteur occidental à ne pas récuser a priori l’hypothèse de la réincarnation.

L’attrait de la réincarnation s’accroît en Europe. Le lecteur découvrira ici un panorama assez complet et succinct des divers courants de pensée et des différentes religions anciennes et modernes où surgit l’idée de réincarnation. Puis dans une seconde partie, un diagnostic théologique d’un point de vue chrétien. L’auteur invite le lecteur à réfléchir et à prendre ses responsabilités en adoptant telle ou telle position qui n’est pas simplement conceptuelle mais entraîne des implications pratiques et existentielles.