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L’auteur étudie les corrélations entre le thème astrologique et les « rayons » ou énergies conditionnant un individu. Cet ouvrage est consacré au premier rayon, celui de la volonté ou de la puissance en lien avec la science du gouvernement, de la diplomatie. On trouve une description caractérologique et psychologique de ce type illustrée par de nombreux exemples. L’astrologie, l’enseignement d’Alice Bailey, l’ésotérisme semblent inspirer l’auteur de cette étude

Dante l’illustre auteur de la « Divine Comédie » fascine l’auteur, qui nous présente une relecture inédite de toute l’œuvre du poète. Cette remarquable exégèse de l’œuvre de Dante nous fait mieux comprendre le poète et son message. C’est aussi un excellent vade-mecum sur le long et difficile chemin vers la sagesse et l’illumination chrétiennes. C’est la première fois qu’un auteur nous démontre de façon probante qu’à travers son œuvre, le poète voulait nous exposer le chemin initiatique qu’il a lui-même parcouru au prix d’efforts gigantesques à une époque incroyablement troublée et féconde.

Témoignages écrits de la formation d’un groupe de « disciples » par le Maître Djwhal Khul dit encore « le tibétain », et l’accompagnement de l’auteur. Ce « stage » se voulait une expérience d’avant-garde, une initiation au Nouvel Age. Les documents publiés dans ce second volume regroupent des instructions collectives et des sortes de directions spirituelles individuelles concernant la méditation et l’initiation. Toute cette « instruction » initiatique se situe dans un contexte ésotérique. Elle ne peut être confiée à un maître qui ne serait pas lui-même avancé dans la connaissance occulte.

Le livre d’un « honnête homme » qui ne veut rien sacrifier de ce qu’il est : philosophe, grand matire d’une loge maçonnique, ouvert à la transcendance. Il récuse les pièges du matérialisme et de la métaphysique et prône une spiritualité ouverte, riche d’une rationalité à visage humain. Chacun est appelé à réinventer la fraternité à partir du postulat cartésien modifié « je pense donc tu es ». Il invite chacun à ne jamais désespérer ni de soi ni de l’autre. L’initiation maçonnique dans ce contexte, n’est pas folklore plus ou moins racoleur, mais un moyen de s’approprier le monde et de comprendre l’humanité par le biais des symboles.

Longue présentation de la Franc-maçonnerie traditionnelle par l’un de ses membres qui, par ailleurs est bouddhiste. Il rappelle le milieu d’origine du mouvement : à la fois le monde de l’artisanat et le christianisme. D’où le lien étroit qui existe entre initiation artisanale et initiation spirituelle. La voie proposée est celle de la réalisation de l’ouvrier accompli et de l’édification de l’homme véritable corps, âme, esprit. Le symbolisme emprunté à l’architecture et aux métiers du bâtiment présente la construction du Temple de Salomon comme la préfiguration de l’édification du temple intérieur, lui-même préalable à celle d’un monde plus humain. L’appartenance bouddhiste de l’auteur lui permet de souligner les points communs aux grandes traditions spirituelles.

Le titre évoque le mystère. Il séduit et repousse. Il trouble. Ce livre nous permet d’aller au-delà de ce sentiment. La kabbale est une lecture particulière de la bible élaborée en judaïsme. Elle s’efforce de faire jaillir un sens nouveau de chaque parole de la bible. Elle s’en tient aux images et accorde sa confiance au mythe plus qu’à la raison. Une kabbale chrétienne lui succède. Enfin l’ésotérisme s’empare de la kabbale et en fait l’enseignement secret réservé à quelques initiés. La prééminence de l’imagination qui marque ce courant est à la fois sa richesse et sa limite lorsque cette imagination se donne l’illusion d ‘avoir maîtrisé le monde risquant ainsi de faire obstacle au travail de l’intelligence.