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L’auteur est connue pour son travail sur « la mort et le mourir ». Elle a tenté de schématiser ûà l’excès pensent certains- un parcours de fin de vie en cinq étapes : la négation, l’indignation, le marchandage, la déprime, l’acceptation. Ce livre est un ensemble de réponses aux questions que lui posent les participants de ses séminaires non seulement sur ces étapes, mais aussi sur la communication non verbale avec le malade, sur la mort subite et le suicide, les obsèques. Elle s’adresse aux personnels de santé, des pompes funèbres, aux religieux, et à toute personne amenée à vivre ce passage.

Des enfants meurent. D’autres voient mourir un frère, un parent. Le pire est-il de se perdre soi-même à travers l’autre ? L’autre n’est-il pas toujours part de soi ?« Ces enfants-là » se savent condamnés. Comme l’adulte, leur souci va à ceux qui resteront. Leur demande est que l’on reste auprès d’eux afin de ne pas vivre un temps de séparation. Le plus grand dommage pour l’avenir de l’enfant n’est pas la perte d’un parent, mais le fait qu’aucune parole de l’entourage ne soit venue lui permettre de nommer l’événement, de le faire entrer dans son histoire. L’auteur est psychanalyste et travaille à l’hôpital des enfants malades à Paris. Elle nous livre ici de précieux témoignages.

A plusieurs reprises, l’auteur a publié des livres d’entretiens. Celui-ci en réunit une vingtaine. Les interview sont regroupés autour de quatre thèmes : l’histoire de la mort, la mort au quotidien, la mort et son scandale, les réponses de l’homme à la mort. La variété des expressions correspond à celle des personnalités interrogées : un criminel, un toréador, un cardinalàchacune étant brièvement située par l’auteur. Celui-ci exprime son point de vue en début et en fin d’ouvrage. Chaque rencontre peut se lire de façon indépendante.

L’auteur, par ses travaux, a ouvert ce vaste domaine de réflexion et de recherche sur la mort et le mourir. Ce livre contient un certain nombre de ses essais. On y trouve un panorama de points de vue culturels sur la question, une réflexion sur le lien entre mort et vie, des comptes-rendus d’expériences personnelles. Toutes ces approches conduisent aux mêmes interrogations : comment faire face à la mort ? à ma mort ? Comment considérer la mort comme une évidence et en faire la dernière étape de notre croissance, bref faire en sorte qu’elle devienne partie intégrante de ma vie ?

Après « la mort intime » l’auteur propose ce bel ouvrage sur un certain art du savoir mourir qui commence par l’acceptation de son état. La question de l’euthanasie bien sûr, est abordée, dans ces cas concrets, à travers les opinions des politiques. Mais peut-on légiférer la fin de la vie ? N’est pas une solution de facilité de banaliser l’acte plutôt que de développer l’autonomie morale du sujet. Marie de Hennezel propose une véritable approche compassionnelle de la personne mourante qui va bien au-delà de l’arsenal médical et légal.

Ce livre est un recueil de causeries. L’auteur propose à l’homme de « découvrir ce qu’est le fondement de sa conscience » ou autrement exprimé « le soi » - et ainsi de se défaire de la peur de la mort.C’est dans cette conscience que l’homme peut espérer trouver la vérité ultime. Pour cela, il lui faut prendre le Chemin, celui qui permet de déposer les apparences pour arriver à l’être immuable, ce témoin qui est pure vision du phénomène, irréel changeant auquel nous apprenons à ne pas nous identifier.

Ce livre est un recueil de causeries. L’auteur propose à l’homme de « découvrir ce qu’est le fondement de sa conscience » ou autrement exprimé « le soi » - et ainsi de se défaire de la peur de la mort.C’est dans cette conscience que l’homme peut espérer trouver la vérité ultime. Pour cela, il lui faut prendre le Chemin, celui qui permet de déposer les apparences pour arriver à l’être immuable, ce témoin qui est pure vision du phénomène, irréel changeant auquel nous apprenons à ne pas nous identifier.

Une traversée de la maladie

Un récit en forme de témoignage exceptionnel et banal à la fois. Exceptionnel ce journal d’une femme qui a côtoyé la mort, a connu la rémission, la rechute, qui « est revenue de la mort ». Et banal puisque mourir est l’affaire de chacun. Comment accompagner celui qui meurt si on ne se sent pas soi-même devoir mourir ? L’auteur découvre la force dans la faiblesse, la vie dans la mort, une vie donnée qui ne nous appartient pas, une vie qui consent au présent et du même coup à tout le passé.

Larry Rosenberg, juif, d’origine russe, élevé par un père athée, est un universitaire américain qui s’est tourné vers le bouddhisme et a créé le centre de méditation intérieure. Il a abordé la recherche spirituelle par le Yoga et a été formé par plusieurs maîtres indiens. Dans son centre de méditation il pratique avec ses étudiants des méditations sur la santé, la douleur, la vieillesse et la mort et nous fait partager les doutes et les difficultés de ses élèves. C’est à nous aussi qu’il présente exercices et méditations, pour apprivoiser nos peurs et devenir plus conscients de la vie.