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Moine bénédictin allemand, l’auteur propose un chemin de foi qui se présente comme un Moine bénédictin allemand, l’auteur propose un chemin de foi qui se présente comme un regard neuf et positif sur la vie, sur le monde et sur Dieu. Ce regard de foi conduit à repenser la réalité en termes d’amour et à exprimer une louange. Le langage de l’auteur est simple et chaleureux. L’auteur établit un rapport entre croire, aimer et louer, aussi éloigné des utopies que des simplismes. Il met sur la voie d’une vie plus pleine et plus unifiée

Actes d’un colloque tenu à Montréal en 1996 sous l’égide du CESNUR (Centre d’Etudes sur les Nouvelles Religions) et du CINR (Centre d’Information sur les Nouvelles Religions). Les intervenants réfléchissent à la question posée aux sociétés par le nouveau pluralisme religieux : une quête spirituelle et religieuse qui s’engage hors des sentiers battus. Après avoir étudié leurs réactions devant la présence de groupes religieux minoritaires d’un type nouveau, notamment en France, ils s’attardent sur l’évolution de quelques mouvements particuliers. Puis ils abordent les réactions des Eglises "qui occupent le terrain", en particulier l’Eglise catholique. L’ouvrage se termine par une description du contexte spirituel dans lequel s’épanouissent ces nouveaux mouvements religieux.

L’auteur est prêtre catholique. C’est une figure spirituelle de notre temps. Ce livre est un plaidoyer pour l’homme, pour sa dignité et sa grandeur. A la question « croyez-vous en Dieu ?», il répond « et vous, croyez-vous en l’homme ?» Et lui, y croit. L’homme lorsqu’il est sur le chemin de son propre accomplissement n’est pas loin de rencontrer Dieu et découvre alors cette évidence : Dieu, lui croit en homme.

Une enquête passionnante et très documentée, menée par un spécialiste de l’Ecole Biblique de Jérusalem, sur le milieu juif des origines du christianisme, un milieu particulièrement complexe et violent. On y découvre une « secte » proche du milieu des « Esséniens », la reprise par ces nouveaux croyants de rites juifs tels que le baptême, l’eucharistie ou le signe de croix, la découverte progressive et assez lente d’un Jésus qui est le Messie attendu et enfin le « Seigneur ». La « révolution » de cette nouvelle croyance réside essentiellement pour l’auteur dans l’évangélisation proposée à tous, indifféremment juifs et païens. Cette lecture, difficile parfois, permet de mieux comprendre les origines chrétiennes et la nouveauté apportée par cette croyance.

Le personnage continue d’intriguer et de fasciner par son étrangeté et sa rareté. Eclaireur, gardien, l’ermite a "un pied sur terre, un autre dans le ciel", pour reprendre l’expression de l’un d’entre eux, qui indique par là même la tension de son statut ! Ce livre est un "récit" et raconte donc au travers d’un certain nombre de thèmes û la solitude, le silence, le combat, le jeûne û les rencontres de l’auteur avec des représentants de l’érémitisme en France. En conclusion, l’auteur situe ces rencontres en continuité et aussi en évolution avec la tradition de l’érémitisme, un mouvement en progression û environ 300 personnes aujourd’hui û et des personnes dont les choix de vie, l’ascèse, la solitude, tiennent compte des évolutions de la modernité.

Lorsque les parents sont plus absents, retenus par des contraintes de toutes sortes et que les soucis les accaparent, les grands-parents restent un relais important dans la transmission des valeurs : mais que peuvent-ils apporter de particulier à leurs petits-enfants, encore jeunes ou adolescents ? Et comment tenir leur place face à leurs propres enfants ? Et leurs petits-enfants, qu’attendent-ils d’eux ? Autant de questions auxquelles l’auteur répond en se souvenant de sa propre expérience de fille, de petite-fille et maintenant de grand-mère et en s’appuyant sur son expérience de psychanalyste

Dante l’illustre auteur de la « Divine Comédie » fascine l’auteur, qui nous présente une relecture inédite de toute l’œuvre du poète. Cette remarquable exégèse de l’œuvre de Dante nous fait mieux comprendre le poète et son message. C’est aussi un excellent vade-mecum sur le long et difficile chemin vers la sagesse et l’illumination chrétiennes. C’est la première fois qu’un auteur nous démontre de façon probante qu’à travers son œuvre, le poète voulait nous exposer le chemin initiatique qu’il a lui-même parcouru au prix d’efforts gigantesques à une époque incroyablement troublée et féconde.

Trop longtemps le corps a été considéré comme un objet de connaissance extérieur à l’observateur. Pour l’auteur le corps est un langage, un « livre de chair », à la fois matière et outil. Pour nous apprendre à le découvrir elle utilise les ressources de la kabbale, symbolique des lettres hébraïques, permutation des lettres, de l’ésotérisme, de l’astrologie, de l’alchimie afin de percer les mystères de chaque partie du corps. Elle nous invite à relire de cette façon les récits de la Genèse. Ainsi au fil des chapitres le corps devient ût-il arbre de vie.

Le « philosophe du réel » applique ses convictions à l’éducation. Il critique les pratiques et les certitudes qu’il rencontre autour de lui : la recherche de la sécurité et du profit, le primat des connaissances et des techniques, le souci du futur, de la préparation de l’avenir, la mainmise des Etats et des Eglises en ce domaine. Il s’en prend à une éducation qui pousse à la conformité plutôt qu’à l’indépendance de la pensée, qui « sectorise » au lieu d’envisager la vie dans son intégralité. Ce qui est, le présent, lui paraissent plus importants que le futur ; la connaissance de soi, primordiale par rapport à la connaissance des sciences : « l’ignorant est celui qui ne se connaît pas lui-même ». L’éducation doit d’abord aider l’individu à affronter ses problèmes. Il place l’efficience de l’amour au-dessus de celle de l’esprit. Et enfin tout ce qui conduit au particularisme, au nationalisme, à l’orthodoxie s’oppose pour lui à toute construction de la fraternité, de rencontre et de la paix.