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Les quatre tomes de « à la recherche du Soi » ont été écrits à partir des causeries d’Arnaud Desjardins au Bost (en Auvergne), son premier ashram . L’auteur est un disciple de Swâmi Prajnanpad, grand maître spirituel Indien enseignant l’adhyatma yoga. Celui-ci s’apparente au yoga de la connaissance qui propose à notre vérification personnelle des vérités fondamentales précieuses pour tous : chrétiens, athées, psychologues, chercheurs de sensàCes pages sont comme une longue lettre qu’Arnaud Desjardins nous adresse personnellement.

L’auteur évoque dans cet ouvrage la période de l’adolescence, en donnant la parole aux adolescents mais aussi à leurs parents et en étudiant les interactions les uns sur les autres.Il s’agit ici d’« études de cas » dûment commentés par la présentatrice, laquelle a écrit ce livre à partir d’enquêtes menées pour le compte de l’Eole des Parents et des Educateurs.Dans la deuxième partie, sont précisés les objectifs de l’enquête et la méthodologie.

Catherine Bensaid, psychiatre et psychothérapeute, évoque tous les regrets, tous les ressentis négatifs des patients qu’elle a rencontrés, et explique le rapport de ces pensées négatives avec le vécu d’enfance. Chaque place dans la fratrie pose des problèmes particuliers et différents, chaque relation reste ultérieurement pour l’adulte porteuse de jugement sur soi, ou de mésestime. Il s’agit de savoir décoder ce qui nous empêche d’aller à nos vrais désirs, déparasités autant que faire se peut du regard des autres. La paix intérieure en dépend, c’est à ce prix que l’on pourra vivre au présent, en s’acceptant et en acceptant les autres sans en attendre ce qu’ils ne peuvent donner.Nous sommes trop souvent prisonniers d’un système de pensées qui ne sont pas les nôtres et qui nous limitent. Ce livre nous indique un chemin pour se réconcilier avec nous-même, et pour prendre notre vie à bras le corps.

Ces « perles » sont autant de révélations faites à une jeune fille Ainyahita, par Mazda. Les entretiens, les conseils, les récits donnent quelques explications sur « la vraie religion » celle de Mazda donnée à la race blanche. Mazda est la cause première de toute création, principe monothéiste mais d’une religion panthéiste en application. Zarathoustra aurait repris ces principes mille ans après cette première révélation.

Bachelard prend ici le parti de penser qu’une « image » de notre esprit, lorsqu’elle est fixée,lorsqu’elle est constituée, est devenue un « mot » bien défini, qui va nous fait agir mais nous fait déchoir d’une imagination rêveuse, qui est essentiellement mobile, et féconde. Gaston Bachelard va s’intéresser ici à la mobilité des images, à leur psychologie, aux images neuves qui vivent de la vie du langage vivant. Ces images « littéraires »qui donnent espérance à un sentiment, qui donnent vigueur à notre décision d’être une personne, et tonicité à notre vie physique. Imagination créatrice, où l’être devient parole. Percevoir et imaginer sont aussi antithétiques que présence et absence. Imaginer c’est s’absenter, c’est s’élancer dans une vie nouvelle. C’est à ce voyage que Bachelard nous conduit, en passant par l’examen de nombreux auteurs et poètes, et en analysant particulièrement ce qui se passe dans les rêves de vol, et de chute.

Une sorte de recueil de sagesse, qui en dépit du sous-titre, dépasse le cercle des chrétiens. En fait l’ébauche d’un livre qui ne fut jamais achevé. Alcide, c’est le lecteur, c’est n’importe qui, mais ce n’est pas personne ! On trouvera ici des maximes, des anecdotes, des poèmes. Beaucoup d’humour à la manière d’uneà mère du désert.

Avec ce cinquième ouvrage, l'auteur prolonge et enrichit la réflexion qu'il mène depuis de nombreuses années sur la destinée des nations. Il nous montre d'où vient ce peuple "qui tient aujourd'hui dans ses mains l'avenir de notre vieux continent", et par quels chemins, à travers quelles épreuves, il est parvenu "à faire tourner au bien les forces colossales qu'il avait accumulées pour le mal".

Il s’agit d’un commentaire du « mythe fondateur de notre civilisation », contenu dans les deux premiers chapitres de la Genèse, analysés verset par verset, mot par mot, lettre par lettre, à partir du texte hébreu. La réflexion naît de la traduction et suit donc le commentaire. Au travers de cette présentation, l’auteur récuse une conception figée, « historique », intellectuelle, de la tradition. Elle réfère la tradition à « un espace intérieur », au point où se croisent le temps du quotidien et l’éternité. Il nous faut épouser nos espaces intérieurs û les cieux nouveaux, la terre nouvelle - pour aller vers le noyau de notre être. Elle entend redevenir avec le Christ le peuple d’Israël, réconcilier le féminin du monde chrétien û le peuple hébreu - avec son masculin chrétien,

La méthode utilisée ici est la même que dans le premier volume. Elle consiste essentiellement à s’approcher au plus près du texte original pour se débarrasser des « sermons moralistes » qui ont recouvert le message. L’analyse porte sur les récits de la chute, de l’expulsion de l’homme hors du Paradis, et du meurtre d’Abel. (Se reporter au résumé établi pour le premier volume)