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L’enfance n’est pas un paradis ! Ni pour les enfants à cause de leurs parents, ni pour les parents à cause de leurs enfants, ni pour les uns et les autres à cause de problèmes de santé. L’auteur, grâce à sa compétence professionnelle, nous invite à pénétrer là où quelquefois nous craignons d’entrer, tout en nous mettant de côté pour mieux observer ce qui se passe : le désordre de l’enfant trouble aussi l’adulte. Au terme de ces voyages il arrive que des enfants puissent dire : mes cicatrices sont devenues un joli dessin lumineux

L’enfance n’est pas un paradis ! Ni pour les enfants à cause de leurs parents, ni pour les parents à cause de leurs enfants, ni pour les uns et les autres à cause de problèmes de santé. L’auteur, grâce à sa compétence professionnelle, nous invite à pénétrer là où quelquefois nous craignons d’entrer, tout en nous mettant de côté pour mieux observer ce qui se passe : le désord re de l’enfant trouble aussi l’adulte. Au terme de ces voyages il arrive que des enfants puissent dire : mes cicatrices sont devenues un joli dessin lumineux

L’enfance n’est pas un paradis ! Ni pour les enfants à cause de leurs parents, ni pour les parents à cause de leurs enfants, ni pour les uns et les autres à cause de problèmes de santé. L’auteur, grâce à sa compétence professionnelle, nous invite à pénétrer là où quelquefois nous craignons d’entrer, tout en nous mettant de côté pour mieux observer ce qui se passe : le désord re de l’enfant trouble aussi l’adulte. Au terme de ces voyages il arrive que des enfants puissent dire : mes cicatrices sont devenues un joli dessin lumineux

L’enfance n’est pas un paradis ! Ni pour les enfants à cause de leurs parents, ni pour les parents à cause de leurs enfants, ni pour les uns et les autres à cause de problèmes de santé. L’auteur, grâce à sa compétence professionnelle, nous invite à pénétrer là où quelquefois nous craignons d’entrer, tout en nous mettant de côté pour mieux observer ce qui se passe : le désord re de l’enfant trouble aussi l’adulte. Au terme de ces voyages il arrive que des enfants puissent dire : mes cicatrices sont devenues un joli dessin lumineux

L’auteur expose à travers cinq leçons, les deux grands piliers de la théorie de Jacques Lacan : l’inconscient et la jouissance, ainsi que les concepts qui en dérivent. Ainsi, J.-D. Nasio, psychanalyste et psychiatre de formation, introduit le lecteur à l’essentiel de la théorie lacanienne- et ce faisant s’adresse tant au néophyte qu’au praticien. Théorie et expérience se conjuguent pour nous éclairer. Cependant, J.-D. Nasio reconnaît ne pas chercher à dire « le vrai », mais rechercher une logique qui le guide dans sa propre pratique.

Cet ouvrage réunit deux interventions de Jacques Lacan, représentatives de l’élaboration de sa pensée. Cette réflexion peut nous aider à penser le lien entre psychologique et spirituel. Jacques Lacan nous introduit au sujet du langage dans la psychanalyse. La parole.Premier symbole elle joue le rôle de médiation changeant deux partenaires en présence, transcendant la relation agressive fondamentale au mirage du semblable.Les satisfactions imaginaires, d’ordre sexuel et sensible, ont à être humanisées par la parole (elles sont appelées phantasmes). Ceux-ci comme valeur symbolique représentent autre chose qu’eux-mêmes.Le processus de l’analyseDans la relation qui s’établit entre le psychanalyste et l’analysant « quelque chose est là, mystiquement posé sur la personne de celui qui écoute ». Ceci indique le besoin de l’homme de l’homme de constituer un point qui constitue ce qui est transcendant. C’est l’autre en tant qu’autre.L’analysant en sa parole fait reconnaître sa propre réalité, son désir par « un semblable » en les symbolisant (exemple dans le rêve). Par l’interprétation l’analyste élucide le symptôme en permettant à l’analysant de reconnaître son désir jusqu’alors floué. L’amour « quelque chose de limité dont on peut à peine parlerà. Quand la réalité et le symbole se rejoignent »Jacques Lacan développe son concept : "l'Autre, le lieu où ça parle". Il indique la fonction du petit "a" et propose son hypothèse : l'introduction du sujet à lui-même se réalise dans la demande de l'Autre (à savoir son désir), dans son rapport à la voix de l'Autre qui le structure. Jacques Lacan pose la question "qui est le sujet, qu'y a-t-il, dont le sujet prend la voix chaque fois qu'il parle?" et qu'en est-t-il du "sujet avant la question?". Lacan répond par la fonction du nom du Père, de l'Etre Suprême.

Ces deux psychanalystes mettent en cause dans l’écoute de la souffrance des analysants, le concept freudien qui consiste à tout ramener aux conflits infantiles. Les auteurs pensent en effet que si l’enfant, dans sa croissance et sa maturation, a à faire à un constant travail d’ouverture et d’accueil de la nouveauté interne, l’adulte continue ce travail en permanence dans ses moments transitionnels, heureux ou malheureux. Les transitions ne se limitent pas à l’enfance et à la puberté.D’où ce livre, très technique, où N. Abraham et M. Torok reprennent un certain nombre de données de la psychanalyse, et disent comment ils ne privilégient plus conflits et refoulements instinctuels de l’enfance, au profit de l’élargissement psychique réalisé à tout âge devant toute expérience nouvelle.

Nasio est psychiatre, psychanalyste. Il sait rendre accessible au non spécialiste des notions complexes. Il a écrit sur Lacan et Freud et parle ici de ce qu’il appelle les 7 concepts cruciaux de la psychanalyse : castration, forclusion, narcissisme, phallus, surmoi, identification, sublimation.Il reconnaît que le développement de la psychanalyse ne permet pas de fixer ces concepts de façon univoque, et laisse une signification contextuelle. Toutefois la démarche originale est de tenter de retrouver la nécessité du concept, et de sa pertinence clinique.Pour la castration, il s’agit au prix de l’angoisse de renoncer à la toute puissance en reconnaissant la différence des sexes, expérience renouvelée dans toute la vie adulte.La forclusion est un concept utile dans l’analyse de certains désordres psychanalytiques, c’est le nom donné au défaut d’inscription dans l’inconscient de la castration.Pour le phallus, il ne s’agit pas de l’organe en lui-même (pénis) mais de la représentation construite sur cette partie anatomique. Le narcissisme est un stade normal de l’évolution de la libido, cette énergie sexuelle qui investit les objets. Primaire et partiel, il contribue à la formation de l’image du moi, mais deviendra pathologique lorsque la libido aura cessé de circuler, le moi accumulant toute la libido qui va y stagner. Nasio pose la sublimation comme le moyen de transformer et d’élever l’énergie des forces sexuelles en les convertissant en force créatrice et positive, ou d’atténuer l’intensité excessive de ces forces.Le concept d’identification joue, pour Freud, entre 2 individus, mais au niveau inconscient,non dans l’espace tridimensionnel, et seules ses manifestations en diront quelque chose. Pour Lacan, l’identification signifie engendrement à partir d’un objet. Le concept de surmoi est cette autorité parentale intériorisée que le sujet s’impose à lui-même. Ce livre est d’accès facile, intéressant dans ses comparaisons entre les conceptions de Freud et Lacan.

Les textes groupés dans ce volume appartiennent à la dernière période de l’œuvre de M. Klein. « Envie et gratitude » date de 1957. Les 4 articles suivants, réunis sous le titre « our adult world and other essays » ont été publiés juste après sa mort. Ils donnent un aperçu général des théories de M. Klein concernant tant l’influence du développement infantile de solitude et le concept d’identification projective. Enfin, suit un commentaire sur « l’Orestie » (1963) soulignant l’importance de la formation des symboles à tous les stades de la vie.

Après avoir posé la différence entre schéma corporel et image de soi, le rôle du psychanalyste par rapport à l’enfant, Françoise Dolto, nous entraîne dans le parcours de croissance d’un être humain depuis sa gestation jusqu’à l’âge adulte. Des étapes importantes sont à passer pour une vie équilibrée et heureuse. Ce sont les castrations. . Elles sont des lieux de plaisir et de déplaisir. Elles se vivent d’abord avec la mère, puis le père et le cercle va s’agrandissant. La façon dont ces castrations vont être parlées avec l’enfant est très importante. L’école est souvent citée par l’auteur comme un lieu important de prise de recul pour l’enfant et sa famille est un lieu où peuvent aussi se rejouer les transgressions.Dans une seconde partie, Françoise Dolto décrit des pathologies liées aux castrations mal vécues. Le narcissisme se construit, se remanie peu à peu en fonction des épreuves que rencontre l’enfant. Le rôle de l’adulte est mis en évidence à chaque étape de la croissance de l’enfant.Mots clés castration, désir, inconscient, structure psychique, émotion, fantasme, instance tutélaire, évolution psychique

Cette introduction se fonde sur un enseignement donné par Hanna Segal à l’Institut de Psychanalyse de Londres. L’auteur y montre comment la théorie de Mélanie Klein, qui s’est développée à partir de la théorie freudienne, s’élabore autour du concept de position de l’enfant par rapport au corps de la mère. Selon M. Klein, la mère n’est pas objet total mais clivé : elle devient fragments positifs (idéalisés) ou négatifs (persécuteurs ou dangereux). A partir de ces fragments qui correspondent à des modalités relationnelles s’élaborent dès la naissance les fonctions qui seront plus tard l’apanage du Moi. Ces découvertes motivent la redéfinition des concepts freudiens, qu’elle enrichit : dans la mesure où un même fragment peut être envisagé à la fois comme positif et négatif, et où cette perception est datée beaucoup plus tôt que ne le faisait Freud, Mélanie Klein est à même d’enrichir les concepts de fantasme inconscient, de position paranoïde-schizoïde et dépressive, d’envie, et de défense maniaque et réparation.